Le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) Ali Haddad a vanté, lundi 14 janvier, dans un discours la relation historique « riche » partagée l’Algérie avec les États-Unis, mettant l’accent sur « les nombreuses opportunités dans lesquelles l’Algérie et les États-Unis peuvent développer un partenariat exceptionnel et fructueux ».
« L’histoire des relations algéro-américaines est riche en faits saillants qui démontrent leur constance et leur solidité. Le peuple algérien n’oubliera jamais l’appui des États-Unis dans sa lutte pour l’indépendance », a affirmé Haddad lors d’une allocution prononcée à Washington lors de la cérémonie de lancement du livre « Algeria & Transatlantic Relations ».
« Dès le lancement des premiers projets économiques, après le recouvrement de son indépendance, c’est vers les USA que l’Algérie s’est tournée pour former une grande partie de son élite et encadrement économique », a affirmé Ali Haddad. « C’est dans cet esprit d’amitié et de partenariat que nos relations se poursuivent dans l’harmonie et le respect mutuel. Elles se consolident tout autant dans les domaines politiques qu’économique, culturel et sécuritaire », a-t-il ajouté.
« Au plan économique et au-delà de la coopération dans le domaine énergétique et particulièrement celui des hydrocarbures, les entreprises des deux pays ont concrétisé ces dernières années des projets importants dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et de la coopération scientifique et technique », a déclaré le président du FCE.
« L’Algérie recèle de nombreux domaines d’investissement et des ressources naturelles importantes telles que le phosphate, le fer, le manganèse et autres, encore peu exploités », a indiqué Haddad, précisant qu’il se rendrait ce mardi « en compagnie de plusieurs chefs d’entreprises dans l’État de Californie pour rencontrer des opérateurs américains et discuter des opportunités de partenariat ».
Le président du FCE a conclu en indiquant espérer que le nouveau livre « Algeria & Transatlantic Relations » soit « une fenêtre qui en ouvrira d’autres pour une connaissance objective du passé, du présent et du potentiel qui permet de se projeter dans l’avenir de l’Algérie », a conclu Ali Haddad.