REPÉRÉ POUR VOUS. « Nous sommes en train d’appliquer le protocole thérapeutique qui nous a été proposé par le ministère de la Santé. Nous n’avons pas utilisé que l’hydroxychloroquine, mais aussi d’autres antiviraux et d’autres molécules. Au niveau de la réanimation, on n’est pas rigides dans la prise en charge. Tout dépend de la situation du patient et de ses antécédents », explique le Professeur Mohamed Salmi, chef de service réanimation des urgences médico-chirurgicales de l’hôpital Mustapha Pacha d’Alger, rencontré ce jeudi 7 mai.