search-form-close
50e vendredi : les principaux événements

50e vendredi : les principaux événements

22h04. Fin de ce direct.

>> Lire sur TSA : 50e vendredi : le hirak toujours debout

18h00. Alger, des manifestants arrêtés parce qu’ils portaient des maillots de la JSK

17h55. Alger, 50e vendredi : ce qu’a dit Me Bouchachi


17h47. Alger, les manifestants réitèrent leur détermination à poursuivre le hirak.


17h45. Alger, le sociologue Nacer Djabi explique pourquoi le hirak se maintient.


17h31. Alger, de nombreux manifestants arrêtés, selon le CNLD.


17h30. Des manifestations pacifiques se sont déroulées ce vendredi dans plusieurs villes du pays : Alger, Oran, Bejaia, Tizi Ouzou, Tlemcen, Sétif, Jijel, Mila, Médéa, Bouira, Chlef, Blida, Bordj Bou Arreridj, Mascara, Skikda, Mostaganem…

17h00. Mascara : Hadj Ghermoul défenseur des droits humains algérien, membre du Comité national pour la défense des droits des chômeurs et de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme a été arrêté ce vendredi en compagnie de plusieurs autres militants qui manifestaient.

16H55. Sétif, une imposante marche à l’occasion du 50e vendredi.


16h49. Alger, les manifestants déploient un immense drapeau national.


16h44. Tiaret : plusieurs militants ont été arrêtés par les services de l’ordre qui ont empêché le déroulement de la manifestation ce vendredi. Depuis le 12 décembre dernier, toutes les manifestations sont interdites à Tiaret.

16h40. Alger, la rue Hassiba noire de monde.

16h38. Alger, rue Asselah Hocine, le passage des manifestants en provenance de Bab el oued et la Casbah.


16h35. Une importante mobilisation a été enregistrée ce vendredi 31 janvier dans la ville de Mostaganem. Les manifestants maintiennent les mêmes revendications du mouvement du 22 février notamment l’instauration d’un état libre de droit et de justice et un changement radical dans le pays.


16h10. Tlemcen : des centaines de manifestants ont battu le pavé aujourd’hui pour le 50e vendredi consécutif pour maintenir la pression sur le pouvoir pour une transition démocratique. « Comment appeler au dialogue alors que des centaines de militants sont détenus pour leurs opinions », s’interroge un manifestant.

16h07. Alger : les manifestants disent non au « deal du siècle » de Trump sur la Palestine.


16h05. Alors que la foule commence à se disperser, un hélicoptère survole la ville de Bouira.

16h03. Alger : deux manifestants arrêtés à Place Audin, les autres manifestants refusent d’avancer et réclament leur libération.

16h00. Des manifestations pacifiques se déroulent aussi à Blida, Mila et Médéa. Les manifestants réitèrent leur soutien à la cause palestinienne, disent non au gaz de schiste, réclament la libération des détenus et un changement radical.

15h56. Alger : les journalistes réclament la libération de leur confrère Sofiane Merakchi.


15h55. Alger, ce qu’a dit Mohcine Belabbas sur le 50e vendredi


15h52. Alger : ce qu’a dit le sociologue Nacer Djabi.


15h50. Alger : les manifestants scandent : « Istiqlal » (indépendance).


15h45. Bouira : les revendications du hirak résumées sur cette immense banderole.


15h30. Oran : la mobilisation est intacte. Des milliers de manifestants ont marché dans les rues ce 50e vendredi consécutif. « Algérie libre et démocratique », lit-on sur une large banderole brandie par un carré de militants.

15h25. Alger : de nombreux journalistes manifestent ensemble pour réclamer la libération de leurs confrères en prison.


15h21. Alger : la femme de Karim Tabbou parmi les manifestants.


15h20. Bouira : la foule grossit de plus en plus.


15h18. Alger : « Ne nous faites pas peur bi el aâchria (décennie noire) ».


15h16. Alger : les manifestants scandent : « Dawla madania ».


15h15. Tizi Ouzou : les manifestants chantent la Liberté de Soolking.


15h00. Mostaganem : début de la 50e marche ce vendredi au centre-ville (source www.mostaganem-aujourdhui.com).

[ Source : Mostaganem Aujourd’hui ]


14h46. Oran : l’ambiance est festive, de nouveaux rythmes de chants sont scandés par une foule décidée à poursuivre le combat pacifique jusqu’à l’instauration d’une réelle démocratie en Algérie.

14h45. Mascara : des dizaines de manifestants ont été arrêtés pour empêcher la manifestation. Depuis le 12 décembre dernier, aucune manifestation de rue n’est tolérée par le pouvoir.

14h35. Oran : « Palestine chouhada (Palestine terre des martyrs) », scandent les manifestants. Les manifestants réitèrent leur soutien à la cause palestinienne en réponse au « plan du siècle » de Trump.

14h33. Oran : début de manifestation au centre-ville. Des milliers de personnes au rendez-vous ce vendredi.

14h30. Alger : les manifestants rendent hommage à Abdehamid Mehri.


14h29. Alger : les journalistes manifestent pour une presse libre et démocratique.

 


14h28. Jijel : marche imposante pour réclamer le changement radical et la liberté.

14h25. Mascara : des manifestants marchent en ce moment au centre-ville. « Dawla madania machi aaskaria (Pour un Etat civil et non militaire) », « Palestine chouhada (Palestine terre des martyrs) », scande la foule.

14h14. Bouira : des manifestants demandent la libération de Babanedjar.


14h10. Tizi Ouzou : la marche du 50e vendredi a commencé avec la participation de milliers de personnes.

14h05. Le policier Zahir Moulaoui, figure du hirak à Bejaia, manifeste à Bouira.


14h03. Alger : Mustapha Bouchachi et Djamila Bouhired manifestent ensemble.


14h01. Comme à Alger, des manifestations pacifiques se déroulent à Bouira et Bejaia.


14h00. Alger : les manifestants disent au pouvoir : « Ne nous faites pas peur avec la décennie noire ».


Les Algériens vont manifester ce vendredi pour la 50e fois de suite depuis le 22 février 2019. Comme les précédents, le 50e acte du mouvement populaire a sa particularité puisqu’il intervient au moment où certains débattent de son échec ou de sa réussite, de la nécessité ou pas de passer à une autre étape, de se choisir des têtes ou garder son fonctionnement horizontal.

Plus que trois week-ends de marches et il bouclera une année pleine. Une longévité que personne ne pouvait soupçonner lorsque, le 22 février 2019, les Algériens s’étaient réveillés brutalement, après des décennies de résignation, et sont descendus dans la rue dire non au cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika.

Ce vendredi, comme les précédents, les manifestants vont réitérer leur principale revendication qui est le départ définitif du système qui a plongé le pays dans l’impasse, et réclamer la libération des détenus d’opinion et l’ouverture des champs politique et médiatique.

  • Les derniers articles

close