11h34. Fin de la conférence de presse. Fin du Direct.

11h33. Ouyahia : « Avec Djamel Ould Abbes, nous sommes amis dans la vie publique et partenaires en politique, nous ne sommes pas en concurrence, on est complémentaires ».

11h31. « Je pense qu’il n’est pas vrai que le peuple algérien manquait d’informations en ce qui concerne le crash », dit Ouyahia qui cite les communiqués du ministère de la Défense.

11h30. Ouyahia voit dans le nombre d’affaires de corruption une preuve contre ceux qui doutent de la lutte de l’Algérie contre ce fléau.

11h28. Interrogé sur sur Ould Abbes qui a divulgué la présence de Sahraouis dans l’avion, Ouyahia ne répond pas à la question et préfère revenir sur l’interprétation faite par les médias marocains. « On n’a jamais nié la solidarité de l’Algérie avec le peuple sahraoui. L’autorité sahraouie a même publié les noms des victimes sahraouis, avec leurs fonctions ».

11h23. Ouyahia sur la grève des médecins : « Nos enfants, il ne faut pas qu’ils oublient qu’ils étudient avec les impôts du peuple et nous aussi sommes payés avec les impôts du peuple ».

11h21. Ouyahia « regrette » le retard pris dans le règlement du problème des médecins résidents.

11h16. Ouyahia : « Vous voulez absolument faire du président un candidat. Il entamera la cinquième année du quatrième mandat le 17 avril. Laissez-le présider le pays. Nous avons besoin d’un guide au gouvernement ».

11h14. Sur la dernière sortie du président (s’agit-il d’une sortie d’adieu ou est ce qu’il demande un 5e mandat ?), Ouyahia dit que c’est regrettable de poser de telles questions. « L’image ne trompe pas. Ce qu’on a vu sur toutes les télévisions, c’est que le peuple était content de voir son président », a-t-il affirmé avant de critiquer les médias.

11h12. Ouyahia aux médecins grévistes : « Nous n’accepterons de désertification médicale de l’Algérie. Il faut des spécialistes à travers tout le territoire national ».

11h10. Ouyahia répond à un journaliste d’El Khabar : « Vous n’êtes plus un journal, vous êtes membre de l’opposition (…) viendra le temps où le citoyen saura qui est qui ».

11h05. Interrogé en kabyle sur Tamazight, Ouyahia répond en kabyle.

11h03. Ouyahia défend le partenariat entre l’État et les Émiratis. « Certains disent qu’ils ne travaillent qu’avec les Émiratis, celui qui ramène des investissements est le bienvenu », a-t-il ajouté. « El hadjar demeurera une entreprise publique à 100% », a-t-il affirmé.

11h01. Ouyahia : « On ne peut être que fier si le président de la République décidait de poursuivre (se représenter à un nouveau mandat, NDLR)

11h00. Ouyahia : « On va publier les bilans pour cultiver l’espoir dans ce pays et pour répondre aux détracteurs ».

10h59. Pourquoi un bilan du 4e mandat et des vingt dernières années? « Le bilan est nécessaire pour répondre à ceux qui demandent où sont passés les 1000 milliards de dollars », répond Ouyahia.

10h55. Ouyahia : « L’Algérie ne peut que regretter les frappes » en Syrie.

10h54.  Sur le marché parallèle, « il est l’objet d’un combat permanent ». Ouyahia ne pense pas qu’il cessera rapidement.

10h53. Ouyahia : « Nous avons d’un côté un tassement des importations et de l’autre une dynamique des exportation (…) Nous créons une dynamique nouvelle ».

10h51.  Ouyahia : La structure de nos importations est faites de quelques segments lourds : produits alimentaires, les équipements et beaucoup de choses (3 segment). On ne peut pas réduire d’un coup 25% notre facture des importations.

10h48. Ouyahia évoque un recensement économique de tous les Algériens. « Sur la base de ce recensement, on va aller progressivement pour savoir qui a besoin de subvention et à quel niveau », dit-il. Selon lui, ce travail va prendre du temps. « Cette année il n’y aura aucun changement dans la politique de subventions », a-t-il affirmé.

10h45.  Ouyahia : « La politique de subventions publiques est à corriger. Les couches défavorisées ne seront pas victimes d’une révision, les pouvoirs publics feront tout leur possible pour épargner les couches moyennes ».

10h44.  Ouyahia : « Dans la situation actuelle, une seule opération d’enlèvement de touristes (dans le Sud) va détruire à néant l’effort de vingt ans ».

10h43.  « Aujourd’hui, le sécurité a été renforcée au Sud, cela ne veut pas dire qu’on va laisser tomber la vigilance ». Il a laissé entendre que les restrictions sur le tourisme dans le Sud seront maintenues.

10h41. Ouyahia : « Nous sommes au cœur du volcan du terrorisme sous-régional ».

10h37. Liste des produits interdits à l’importation : elle sera modifiée tous les trois ou six mois. Ouyahia reconnait qu’il y avait quelques erreurs dans le décret. « On a même trouvé des intrants » alors que le but était d’interdire les produits finis, a-t-il dit.

10h35. Ouyahia concernant les prix des véhicules : « Les choses vont changer dans l’avenir ».

10h30. Sur « les tensions » entre le Premier ministre et la présidence, Ouyahia dit : « Je vous explique quelque chose de simple : le Premier ministre est nommé par la présidence. Quand ça ne marche pas, le président a une solution très simple, il met fin aux fonctions du Premier ministre ».

10h28.  Ouyahia est interrogé sur le retard des messages de condoléances du Maroc et de la France. Ouyahia : « Est-ce que notre rôle est de construire des relations ou de rentrer dans des crises ? ».

10h23. Ouyahia est interrogé sur les expulsions de migrants : « Nous sommes doublement destinataire d’un flux migratoire et nous avons aucun complexe pour dire que l’Algérie le traitera. Les migrants illégaux seront renvoyés chez eux, il s’agit notamment de notre sécurité nationale ». « Certaines voix veut accuser l’Algérie de racisme », ajoute Ouyahia qui qualifie cette accusation d’affabulation.

10h20. Ouyahia concernant les déclarations de l’ambassadeur de France sur les visas :  « Il y a eu une réponse du porte-parole, la relation avec la France est importante et elle connaît une évolution depuis 2012 (… ) Il y a eu un dérapage, on ne va pas faire tout une histoire autour de ça, il y a eu une réponse.

10h17.  Ouyahia : « En conclusion, il me reste à vous dire que vers la fin de l’année, le gouvernement va présenter le bilan de 2018 et le bilan du quatrième mandat et le bilan des vingt dernières années des réalisations » de Bouteflika.

10h16. Ouyahia : la crise actuelle des hydrocarbures est plus dure que celle de 1986.

10h15.  Ouyahia : « Beaucoup de choses ont été dites par les experts en ce qui concerne le financement interne non conventionnel. Contrairement à ce qui a été dit, l’inflation a diminué ».

10h14. Ouyahia : les dispositions de l’État pour diminuer les importations offrent davantage de marchés aux entrepreneurs locaux.

10h13. Ouyahia évoque 700 milliards de dinars de créances qui ont été assainis et parle de la levée du gel de 1500 projets. Ouyahia évoque certains grands projets : la restructuration financière du complexe El Hadjar, le doublement de l’exploitation du phosphate à Tébessa.

10h12. Ouyahia : « Concernant les prévisions pour 2018, cette année sera meilleure sur le plan économique et social, l’État a augmenté en matière de financement, la dynamique économique bouge encore mieux ».

10h10.  Ouyahia donne quelques chiffres notamment en ce qui concerne l’éducation, la santé et le logement: 290.000 nouveaux logements durant l’année dernière « Sur le plan économique, nous avons enregistré des investissements de 3500 milliards de dinars d’investissement « nous avons enregistré 3,7% de croissance en dehors des hydrocarbures « nous avons enregistré une croissance globale 2,2% » 11,7% taux de chômage en 2017.

10h05.  Ouyahia :  2017 était une année difficile sur le plan économique pour le pays. Les résultats étaient toutefois respectables, a-t-il ajouté.

10h05. Ouyahia commence ensuite par le bilan de son gouvernement.

10h03. Début de la conférence de presse. Ouyahia rend hommage aux victimes du crash de l’avion militaire à Blida.

Ahmed Ouyahia anime, ce samedi 14 avril, une conférence de presse au Centre international des conférences (CIC) à Alger. Après une période de silence, le Premier ministre devrait faire le bilan du travail mené par son gouvernement depuis sa nomination.