12h12. Réponse : l’argent manque. Ce qui va être appliqué de soutien, c’est à celui qui a le meilleur taux de rendement. Je ne réponds pas spécifiquement à votre cas.

12h11. Projet algéro-émirati pour la fabrication de canettes, déposé en 2015 à l’Andi. Aucune réponse. Nous demandons au PM de bien regarder et de régler ce problème.

12h05. Réponse : Le problème est une violation de la loi. Nous allons enquêter. Il est illogique d’autoriser une autre usine d’exploitation d’eau au même endroit.

12h02. Question : il y a des vautours qui sont venus pour exploiter la source Youkous. On demande à monsieur le PM de faire quelque chose pour nous. Mais on est obligé de céder la place à ce charognard. On a acheté une flotte de 40 camions et nous avons un problème avec les douanes.

12h01. Très peu d’entreprises publiques peuvent entrer à la Bourse à cause de leur situation financière.

11h59. L’Algérie est très bassement assurée, deux compagnies sont venues de l’étranger, ils vous ont pris la moitié du marché. Il faut vous battre. Pour la Bourse d’Alger, il est hors de question que l’État ouvre le capital des banques et des sociétés juteuses par le biais de la bourse.

11h54. Protestation dans la salle. Des patrons demandent la parole.

11h44. Réponse : en ce qui concerne le chèque, vous savez que cela nous a coûté une explosion en 2011. Faisons un deal entre les entreprises et l’administration pour travailler avec le chèque. Vous pouvez imposer le chèque en tant qu’entreprises.

11h41. Question : quand est-ce on va rétablir le chèque ?

11h40. Nous avons 4 millions d’Algériens en France, ils peuvent être votre relais et vous aider.

11h38. Réponse : la loi sur le e-commerce va passer. Mme la ministre chargée de son domaine est en train de faire un travail formidable. J’ai peur de gagner un centime et de perdre 10 dinars, si j’impose aux étrangers de prendre des étrangers, ils peuvent faire de même.

11h34. Question : je demande au gouvernement pour pousser les consulats algériens exigent aux demandeurs de visas algériens de souscrire sur internet à des assurances voyage avec des assureurs algériens.

11h34. Aidez nous, nous allons vous aider.

11h33. Dans 10 ans, l’État doit revenir à sa mission de régulateur.

11h31. La plateforme d’exportation, c’est aux opérateurs de la développer.

11h30. Ouyahia : L’Algérie ne peut pas se projeter sur 2050. La Chine oui. Il nous est très difficile de faire une projection sur 20 à 25 ans, en réponse à une question sur l’absence d’une vision.

11h10. Question: le dispositif pour les jeunes est maintenu, ce qui est regrettable, c’est son évaluation. Est-ce que ce n’est pas le moment de mettre un dispositif pour les entreprises qui marchent bien ? 200 à 300 PME qui marchent qui ont besoin du soutien de l’État. 96% des entreprises en Algérie sont des TPE.

Réponse Ouyahia : je lance un appel aux entreprises algériennes, vous avez un programme de mise à niveau depuis 2006-2007, à disposition. Il est toujours là. Il y a un problème culturel dans le monde de l’entreprise, dominée par l’entreprise familiale. La pérennité du pays est dans les agents économiques. Nous faisons des sacrifices en alourdissant la dette pour nos petits enfants. Je rappelle le programme de mise à niveau pour les PME/PMI

11h03. Question : le gouvernement a minimisé l’importance de l’économie informelle. Plus de 50% de l’emploi en Algérie est dans l’informel. Quel est le degré de préoccupation des pouvoirs publics par rapport à cette question ?

Réponse Ouyahia : l’économie informelle n’est pas une calamité. En Italie, 30% de l’économie, c’est de l’informel. L’économie informelle est un problème dans le trafic. Est-ce que c’est une bataille que l’État seul peut remporter ? Combien d’entreprises participent à ce phénomène ? L’État mènera une bataille pour réduire les importations. Moins d’import-import, plus nous réduirons l’informel. C’est une bataille que nous espérons poursuivre pendant des décennies. payer son impôt est une question civilisationnelle. Si tout le monde se mettait à le faire, nous irons mieux.

11h00. Le débat entre Ouyahia et les patrons est en cours. Le Premier ministre a commencé à répondre aux questions des chefs d’entreprises

Le premier ministre Ahmed Ouyahia en compagbie des chefs d’entreprises à l’occasion de l’Université d’été du FCE. (Crédits : FCE ©)

10h54. Fin du discours.

10h53. En conclusion, je voudrais vous assurer que le gouvernement sera toujours au service de nos entreprises et nos travailleurs

10h52. Nous vous appelons à investir dans la distribution à travers le pays. Nous vous demandons d’investir dans des créneaux pour l’exportation. Nous vous appelons à participer à la formation de main d’oeuvre qualifiée, à créer des compagnies aériennes de fret, à participer à la recherche et développement au niveau des entreprises.

10h51. Nous demandons de nous aider à connaitre la demande nationale. Nous vous demandons de travailler avec l’administration pour établir une carte économique nationale. Nous vous demandons à travailleur dans la gestion des zones industrielles.

10h50. Réduire les importations pour préserver les réserves de change et permettre aux entreprises algériennes de se réapproprier le marché national.

10h50. L’appel aux entreprises étrangères de réalisation deviendra une exception.

10h49. Rétablissement de la préférence nationale dans la commande publique.

10h49. La réalisation dans un délai d’un an de 50 nouvelles zones industrielles. Une décentralisation accrue au niveau des wilayas des actes et procédures d’investissement.

10h48. Des montants très importants en liquidités seront disponibles dans les banques. Le maintien des mesures de soutien à l’investissement, ce qui représente 400 milliards de dinars de dépenses fiscales.

10h47. La remise en actvité du programme de soutien à l’agriculture.

10h46. La relance de l’investissement public, avec un budget d’équipement en hausse en 2018. Ces crédits comportement 250 milliards destinés au développement local.

10h46. La finance islamique sera suivie par des bons du Trésor conforme à la Charia.

10h45. Le gouvernement entend mener plusieurs réformes pour améliorer le climat des affaires.

10h43. La solution financière est désormais là, avec le recours par le Trésor public à l’emprunt auprès de la Banque d’Algérie.

10h42. La construction nationale s’est retrouvée menacée par l’impact de la chute brutale des prix du pétrole. Même les entreprises ont ressenti l’impact de ce choc à travers le baisse des investissements, le retard de paiement et la baisse des crédits d’investissements.

10h41. Près de 4000 nouveaux dossiers d’investissements ont été introduits durant les 9 premiers mois de 2019 à travers le pays.

10h40. Nous sommes l’un des rares pays au monde à accorder des avantages fiscaux aux investisseurs qui peuvent atteindre 15 années dans certaines régions. Nous sommes le seul pays au monde à maintenir le taux d’intérêts au dessous du taux d’inflation.

10h40. Parallèlement, les pouvoirs publics ont mis en place une législative attractive pour les investisseurs.

10h39. Depuis 2000, l’État a engagé 36000 milliards de dinars d’investissements publics. La dépense publique d’équipement a constitué l’essentiel du plan de charges des entreprises.

10h38. Cette communion du peuple avec son président est la conséquence logique de la politique menée depuis 18 ans

10h35. Ouyahia entame son discours. Je suis honoré de débattre avec les chefs d’entreprises. Nous sommes politiquement dans le même camp, celui de l’Algérie.