
Accusée d’un infanticide glaçant, une ressortissante algérienne se retrouve face à la justice en Grèce. Les détails de ce crime sordide donnent froid dans le dos. Tout a commencé quand le corps d’une fillette de trois ans a été retrouvé sur la plage Eden, située au sud de la capitale Athènes. Une femme a été aperçue quittant les lieux avec une poussette. C’est la maman, qui devient donc le principal suspect.
Il s’agit d’une Algérienne de 32 ans, dévoile le média grec Ekathimerini, qui fait savoir que la mise en cause a été arrêtée ce vendredi 1er août et qu’elle a été conduite au tribunal ce dimanche 3 août sans aucune assistance juridique.
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Grève : une Algérienne poursuivie pour un infanticide glaçant
La mise en cause est établie de manière irrégulière en Grèce. Elle s’y est installée avec trois enfants en bas âge. Elle est accusée d’homicide volontaire sur l’un de ces enfants, une fillette de trois ans, ainsi que de violences domestiques sur personne vulnérable.
Selon le rapport de l’autopsie médico-légale, la fillette de trois ans est morte asphyxiée. Des ecchymoses ainsi que diverses blessures ont été également évoquées par ce rapport de médecine légale.
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La suspecte quant à elle fait des déclarations contradictoires dans le cadre de l’enquête, selon le même média. Elle a d’abord indiqué que sa fille est tombée dans la salle de bain, et la croyant morte, l’avait abandonnée sur la plage. Dans une autre version, la principale accusée a déclaré que sa fille est tombée en mer et qu’elle est morte noyée. Selon les témoignages des voisins, la mise en cause n’en est pas à son premier acte de violence. Alors que le père de la victime reste encore introuvable, la police enquête aussi sur un homme âgé qui rendait fréquemment visite à cette algérienne.
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