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Pour le MSP, l’instruction de Bouteflika pose « un problème de prérogatives »

Pour le MSP, l’instruction de Bouteflika pose « un problème de prérogatives »

Facebook / Abderrazek Makri
Abderrazek Makri, président du MSP, sur l’instruction de Bouteflika à Ahmed Ouyahia

Le président du MSP, Abderrazek Makri, a estimé ce lundi que l’instruction de Bouteflika à Ahmed Ouyahia pose « un problème de prérogatives », ce qui augmente « l’ambigüité » autour des affaires publiques.

« Le problème est donc un problème de prérogatives, ce qui augmente l’ambiguïté entourant les affaires publiques. L’opinion que nous avions exprimée sur le sujet est donc la plus correcte : le problème n’est pas l’ouverture du capital du secteur public non stratégique, mais la transparence, l’équité, la faisabilité économique, les opportunités équitables et les risques de Constitution (ou d’expansion) de réseaux mafieux influents dont pâtira l’Algérie encore plus et pour longtemps », écrit Abderrazek Makri sur sa page Facebook.

Selon lui, « la priorité dans ce pays est de construire des institutions fortes, transparentes et démocratiques fondées sur la légitimité populaire ; l’existence d’une classe politique autonome dans ses décisions s’appuyant sur ses militants et son programme, et de construire une société civile libre active et positive, et des médias guidés par la conscience professionnelle s’imposant par la compétence ».

« Dans ces conditions, l’économie nationale connaîtra le développement et la prospérité dans une véritable complémentarité entre le secteur public et le secteur privé », estime-t-il. « Faute de quoi, ce ne sera que la répétition de l’échec », conclut-il.

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