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Un groupe français remporte un important contrat en Algérie

Le groupe français Viridien a annoncé ce mercredi 12 juin avoir remporté un « important contrat » dans le secteur des hydrocarbures en Algérie.

Un groupe français remporte un important contrat en Algérie
Thinhinane Lardjane
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Le groupe français Viridien vient de remporter un contrat dans le domaine des hydrocarbures en Algérie.

Photo par tippapatt / Adobe Stock

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L’ex-groupe de services parapétroliers CGG qui a changé de nom en 2014 a été sélectionné par le groupement Berkine composé notamment de Sonatrach et de l’Américain Occidental Petroleum, pour réaliser l’imagerie sismique d’une étude à haute densité de 3.400 km² en cours d’acquisition sur deux blocs du bassin de Berkine dans la wilaya de Ouargla, selon le communiqué de Viridien publié ce mercredi 12 juin.

Les blocs concernés par ce contrat sont B404a et B208, dans l’Est de l’Algérie. Le montant du contrat n’a pas été dévoilé, mais il est considéré comme « important ».

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En Algérie, Viridien va s’appuyer sur son « expérience qui remonte aux années 1950 »

Le contrat consiste en la fourniture de « nouvelles informations sur le sous-sol et, en particulier, affiner la résolution de la géologie mince et faillée de la zone cible ».

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Pour cela, une « équipe d’experts de scientifiques du centre avancé d’imagerie souterraine » de Viridien basée en France « appliquera un flux de travail d’imagerie avancé à l’ensemble de données ».

Cette équipe va s’appuyer sur son « expérience d’imagerie de levés sismiques terrestres vastes et ultra-denses similaires au Moyen-Orient. »

Viridien va s’appuyer aussi sur la « longue expérience » en Algérie qui remonte aux années 1950, sa « connaissance géologique approfondie du bassin de Hassi Messaoud et à la récente réussite d’une série de projets de réimagerie dans le pays ».

Le groupe Sonatrach a conclu ces derniers mois de nombreux accords avec de grandes compagnies pétrolières gazières pour développer la production algérienne d’hydrocarbures.

L’Algérie ambitionne d’augmenter sa production de gaz à 200 milliards de m3 dans les cinq prochaines années, contre 105 milliards de m3 en 2023.

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