
Membre du Conseil d’administration de Crisis group (ICG), Ramtane Lamamra « n’a pas été associé » à l’élaboration du rapport de cette ONG sur l’Algérie, a-t-on appris de source proche de l’ancien ministre des Affaires étrangères.
« Il n’a été ni informé, ni encore moins consulté sur l’opportunité et le contenu du rapport », assure notre source, en indiquant que le Conseil d’administration « n’est pas un Comité de rédaction et ses membres n’ont aucun droit de regard sur les rapports publiables. Il a compétence sur les questions de gestion ».
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M. Lamamra « n’a participé à aucune réunion, ni pris part à aucune activité, ni consultation à distance dans le cadre de l’ICG », insiste la même source.
Depuis sa désignation comme membre du Conseil d’administration de l’ICG à la place de Lakhdar Brahimi, il n’a pas eu l’occasion de rencontrer son nouveau PDG Robert Malley ».
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Des réformes sont urgentes en Algérie pour diversifier une économie dépendante aux hydrocarbures et éviter une crise économique dès 2019, a averti lundi dernier le centre d’analyses International Crisis Group (ICG).
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