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Ali Haddad : « Non, je n’étais pas surpris. Rien ne me surprend »

Ali Haddad : « Non, je n’étais pas surpris. Rien ne me surprend »

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« Non, je n’étais pas choqué. Non, je n’étais pas surpris. Rien ne me surprend ». En réponse à une question de TSA, Ali Haddad a commenté, très brièvement, ce mardi 18 juillet, l’incident de samedi dernier quand les collaborateurs du Premier ministre lui ont demandé de quitter la salle de l’Institut supérieur de la sécurité sociale parce qu’Abdelmadjid Tebboune ne souhaitait pas se trouver dans la même salle que lui.

Dans le hall de l’hôtel Aurassi à Alger où il a tenu une réunion avec le Secrétaire général de l’UGTA et des responsables d’autres organisations patronales, Ali Haddad est poursuivi par des journalistes. Il est assailli de questions.

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Comment interprète-t-il le comportement des collaborateurs du Premier ministre ? Estime-t-il qu’il est ciblé par une campagne ? Que compte-t-il faire ? Comment compte-t-il riposter ? Ali Haddad refuse de répondre aux interrogations sans s’énerver et sans se départir de son sourire.

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Abdelmadjid Sidi Said a la même attitude. Il renvoie tous les journalistes qui l’approchent au texte du communiqué publié en fin de matinée. Les rédacteurs du communiqué sont également signataires du Pacte national économique et social de croissance. Ils y dénonçaient le « traitement réservé » au patron du FCE à l’Institut supérieur de la sécurité sociale.

La réunion entre le patron de la centrale syndicale et les chefs des organisations patronales a duré plus de deux heures. Au cours de la rencontre, les présents évoquent l’incident et même les mises en demeure adressées au patron de l’ETRHB. Sur ce dernier point, « Ali Haddad a dit qu’il répondrait personnellement en tant que PDG de l’ETRHB et non comme patron du FCE », affirme l’un des patrons qui était présent sur place.

« Aujourd’hui, c’est Ali Haddad, demain ce sera un autre. Les patrons le savent très bien. C’est pour cela qu’ils ont décidé de réagir », poursuit la même source.

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