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Après Sellal, l’Andi critique la faiblesse des investissements français en Algérie

Après Sellal, l’Andi critique la faiblesse des investissements français en Algérie

Maigre bilan en 15 ans. Le directeur d’études de l’Agence nationale de développement de l’investissement (Andi), Salim Branki a déploré, ce jeudi 20 avril, la faiblesse des investissements français en Algérie, rapporte l’agence APS. Lors d’une rencontre à Paris, sur  la réforme du droit algérien des investissements, le cadre de l’Andi a évalué le niveau des investissements directs français à 342 milliards de dinars (équivalent d’un peu plus de 3 milliards d’euros), pour un total de 165 projets depuis 2002.

En 15 ans, seuls 126 de ces projets ont été concrètement réalisés, a-t-il précisé, créant moins de 13.000 emplois. M. Branki a jugé que l’implication des opérateurs économiques « reste faible ». De son côté, Saïd Moussi, chargé d’affaires de l’ambassade d’Algérie a également déploré l’insuffisance des investissements français dans le pays.

Le cadre de l’Andi a notamment vanté la politique de diversification lancée par le gouvernement, visant à réduire la dépendance aux hydrocarbures. Cette « opération de marketing » s’adresse aux opérateurs français soucieux de connaitre le nouveau cadre réglementaire de l’investissement en Algérie, rappelle la même source.

Le 6 avril, lors de la visite de son homologue français Bernard Cazeneuve à Alger, le premier ministre a criqué la faiblesse des investissements français en Algérie

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