search-form-close
Gaïd Salah critique les demandes de libération de ceux qui ont « porté atteinte à l’emblème national »

Gaïd Salah critique les demandes de libération de ceux qui ont « porté atteinte à l’emblème national »

Le général Ahmed Gaid Salah a critiqué, ce mercredi 30 octobre, ceux qui appellent à la libération des détenus qui ont « porté atteinte à l’emblème national », affirmant que la justice se chargera de leurs « affaires ».

« En dépit de tout ce qui a été réalisé en termes de résultats positifs, quelques personnes se sont manifestées pour entraver tous les efforts nationalistes sincères consentis. Ces personnes qui prétendent être d’une grande culture et qui font des communiqués leur moyen idéal pour perturber cette noble démarche nationaliste, en tentant d’induire le peuple algérien en erreur et en abusant de conseils, en omettant qu’ils avaient occupé dans le passé de hautes responsabilités dans l’État, et qu’ils faisaient partie intégrante de l’ancien système. Ces personnes qui ont raté le train et qui font désormais partie du passé, vivent dans des tours d’ivoire et n’ont aucune idée de la réalité de ce qui se passe dans le pays, ni des sentiments des Algériens à travers le territoire national, ou de leurs espoirs et ambitions pour un avenir meilleur », a dénoncé le chef d’état-major dans un discours sur la situation politique.

« En témoigne leurs propositions stériles et mort-nées, à l’image de leurs revendications de libérer ceux qui ont porté atteinte à l’emblème national. Ce sont des propositions rejetées dans la forme et dans le fond, car le drapeau national est le symbole de la souveraineté nationale, des sacrifices des millions de valeureux Chouhada et de la souveraineté de tout le peuple algérien, qui n’acceptera jamais que l’on porte atteinte à l’emblème national », a-t-il ajouté.

« La justice se chargera des affaires de ces derniers, puisqu’elle est également l’un des symboles phares de l’État de droit, et jouit à présent de toute l’indépendance requise et exerce sans pressions ni diktats », a-t-il affirmé.

  • Les derniers articles

close