Un crime de plus ne le rapprochera pas davantage de l’enfer. Le gouvernement israélien a tellement tué d’enfants palestiniens ces dernières décennies, qu’il n’hésite pas à en tuer encore, par centaines.
Depuis une semaine, l’armée israélienne agit sur Gaza comme celui qui n’a plus de souci pour son image ni son honneur qu’il s’est largement souillé depuis longtemps.
Des milliers de tonnes de bombes sont larguées sur la bande de Gaza et ses deux millions d’habitants qui s’entassent dans un petit territoire d’à peine quelques centaines de kilomètres carrés.
Et c’est écrit avec fierté dans les communiqués officiels de cette armée qui a subi une défaite amère contre des combattants palestiniens aux moyens rudimentaires.
Faute de courage d’affronter en face les hommes de la résistance palestinienne sur le terrain, Israël bombarde du ciel les civils de Gaza, femmes, enfants et bébés sans distinction.
Le dernier bilan de cette agression fait état de plus 2.200 morts en une semaine, dont plus de 720 enfants. Si les pays occidentaux peuvent rester insensibles à ces chiffres, et même aux images de la ville détruite, leurs opinions publiques ne peuvent toutefois demeurer indifférentes à certaines images d’enfants victimes de la barbarie israélienne.
Guerre contre Gaza : scène émouvante dans un hôpital palestinien
Comme cette scène aussi insoutenable que surréaliste d’un enfant qui se retrouve côte à côte avec son père dans la même salle de ce qui reste d’un hôpital de Gaza.
Tous les deux sont gravement blessés. Alors que le père devait rassurer son fils dans pareille circonstance, c’est tout le contraire qui se produit.
L’enfant, âgé peut-être d’une dizaine d’années, la tête complètement bandée, trouve la force de se retourner sur son brancard pour murmurer quelques mots réconfortants à l’adresse de son père : « N’aie pas peur Papa. Je vais bien. Sois fort. »
La scène, censurée par les médias occidentaux, mais largement partagée sur les réseaux sociaux, émeut et perturbe le monde entier. Elle suffit à elle seule pour envoyer les extrémistes de Tel-Aviv et les chefs de leur armée devant un tribunal international.
SUR LE MÊME SUJET :