Le constructeur automobile japonais Suzuki a réaffirmé son intérêt pour lancer une usine de montage de véhicules en Algérie, selon un communiqué du ministère de l’Industrie et des mines, publié ce samedi.
Initiée en partenariat avec le groupe Tahkout dont les propriétaires sont en prison, cette usine implantée à Saïda, n’a pas encore reçu le feu vert du Conseil national de l’investissement (CNI) pour entamer l’assemblage, a indiqué la ministre de l’Industrie et des Mines, Djamila Tamazirt qui a reçu une délégation japonaise conduite par l’ambassadeur du Japon en Algérie, accompagné des représentants du ministère des Affaires étrangères du Japon et de hauts responsables de Suzuki, selon le communiqué.
« La société Suziki a expliqué que ce projet retient l’attention de la communauté des entrepreneurs japonais, et a réitéré son intérêt pour le projet dont l’étendue est régionale avec un impact important en matière de création d’emplois, de transfert de technologies, de promotion de la sous-traitance industrielle et d’exportation », précise le communiqué.