Le ministre de la Justice et Gardes des sceaux Lotfi Boudjemaa a dévoilé jeudi 9 octobre le taux officiel du divorce par khol’â en Algérie.
Interrogé par un député sur l’étendue de ce phénomène, le ministre a répondu : « le taux de divorce par khol’â est de 21 % entre 2020 et 2024 », a-t-il indiqué, en précisant que ce mode de divorce n’est pas le plus dominant en Algérie, contrairement à ce qui est propagé par des médias et les réseaux sociaux.
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Selon l’article 54 du Code de la famille, « l’épouse peut se séparer de son conjoint, sans l’accord de ce dernier, moyennant le versement d’une somme à titre de » khol’â « . En cas de désaccord sur la contrepartie, le juge ordonne le versement d’une somme dont le montant ne saurait dépasser la valeur de la dot de parité » sadaq el mithl » évaluée à la date du jugement ».
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