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40e vendredi : les principaux événements

40e vendredi : les principaux événements

22h15. Fin de ce direct.

21h45. Toutes les personnes arrêtées a Oran ce vendredi ont été relâchées, annonce le CNLD ce soir

20h25. Alger, une mère réclame la libération de son fils

20h00. Oran : Le vice-président de la LADDH, bureau d’Oran, Kaddour Chouicha et une journaliste, Djamila Loukil ont été libérées en début de soirée, a-t-on appris de bonne source. Ils ont été arrêtés au moment où la police chargeait des manifestants qui protestaient contre la tenue du meeting du candidat Abdelaziz Belaid. Selon cette source, une douzaine d’autres manifestants sont toujours auditionnés au niveau du commissariat central de la ville d’Oran. Plusieurs manifestants se sont rendus au commissariat à la fin de la marche pour réclamer leur libération.

18h45. Mostaganem : les manifestants ont insisté sur le refus du vote (source www.mostaganem-aujourdhui.com)

17h30. Adrar, les manifestants disent non au vote.

17h27. Cinq manifestants arrêtés à Sétif pour port de l’emblème amazigh (Lire)

17h25. Le vice-président de la LADDH, bureau d’Oran, Kadour Chouicha et la journaliste, Djamila Loukil ont été arrêtés ce vendredi dans cette ville, a-t-on appris de bonne source. Ils sont actuellement auditionnés au commissariat central de la ville.

17h20. Des manifestations pacifiques se sont déroulées ce vendredi pour la 40e fois depuis le 22 février à Alger, Oran, Constantine, Tlemcen, Sidi Bel Abbès, Mascara, Ain Defla, Chlef, Mostaganem, Blida, Dellys, Bordj Menail, Setif, Bejaia, Bouira, Tizi Ouzou, Mila, Tipaza, Hadjout, Bougaa, El Oued, Médéa, Mila…

Ils ont réitéré leur rejet des présidentielles dans les conditions actuelles, dénoncé les arrestations, réclamé le départ des symboles du régime et la libération des détenus du hirak.

17h15. Ain Defla; de nombreux manifestants sont sortis ce vendredi pour réclamer une Algérie démocratique, et dire non aux élections présidentielles

16h55. Cinq jeunes ont été arrêtés ce vendredi à Sétif durant la marche pour port de l’emblème, rapporte l’avocat Boubaker Hemaili. Il s’agit de Badr Eddine Smail, Yetta Ahmed, Ihamouchène Hakim, Agaoua Nacer et Boubtiten Zahir. Ils seront présentés dimanche devant le procureur de la République, a-t-il précisé.

16h55. Alger, des militants de l’association RAJ arrêtés par la police

16h33. Alger, il commence à pleuvoir, et les manifestants commencent à se disperser

16h30. Tlemcen: les manifestants ont longuement marché dans la rue pour exprimer leur détermination à poursuivre leur combat pacifique jusqu’à l’instauration d’une République démocratique.

16h25. Chlef: La mobilisation a été plus forte aujourd’hui que durant les vendredis précédents. « Non aux élections » et « libérer les détenus politiques » ont été largement les mots d’ordre les plus scandés par les manifestants.

16h10. Les manifestants commencent à se disperser dans le calme à Tizi Ouzou après une grandiose marche.

16h01. Mostaganem : la mobilisation demeure intacte. Les manifestants ont réitéré leur rejet de la présidentielle, et réclamé un véritable changement. (Source : www.mostaganem-aujourdhui.com)


16h00. Oran : des milliers de manifestants sont rassemblés actuellement en face du siège de la wilaya, marquant la fin traditionnelle de la mobilisation de ce 40 e vendredi. « Il n’y aura pas de vote », sont unanimes à réitérer les manifestants.

16h55. Sétif : des milliers de personnes manifestent contre la présidentielle, et pour réclamer le départ des symboles du régime.

15h50. Mascara : les manifestants sont sortis ce vendredi pour réitérer leur rejet des élections du 12 décembre. Un emblème national
géant a été brandi et des slogans anti-pouvoir ont été scandés.

15h45. Oran : il y a une mobilisation impressionnante. « Pour un Etat civil, non pour la répression », scandent les milliers de manifestants.

15h18. Alger : toutes les franges de la société participent à la manifestation comme chaque vendredi.


15h17. Tizi Ouzou : les manifestants dénoncent la corruption : « Klitou leblad ya seraqin ».


15h16. Sidi Bel Abbès : une manifestation pacifique se déroule actuellement dans les rues de la ville pour réclamer le changement et dire non aux présidentielles.

15h15. Alger : la rue Asselah Hocine noire de monde.


15h05. Alger : très forte mobilisation des manifestants pour le 40e vendredi.


15h00. Constantine : « Djazair fi danger », scandent les manifestants.


14h55. Des marées humaines défilent en ce moment dans les rues, boulevards et les places publiques d’Alger, pour dire non à la présidentielle, réclamer la libération des détenus du hirak, et un véritable changement. Des manifestations pacifiques similaires se déroulent dans plusieurs autres villes du pays : Oran, Constantine, Bejaia, Tizi Ouzou, Mostaganem, Jijel, Bordj Menail, Dellys, Bouira…

14h53. Alger : un enfant dénonce à sa façon les arrestations des manifestants et des militants du hirak.


14h51. Oran : « Je ne vote pas », « Libérez les détenus d’opinion », ou encore « L’Algérie sera indépendante », lit-on sur des pancartes brandies par les manifestants.

14h50. Mostaganem : la rue est mobilisée ce 40e vendredi. Les slogans anti-pouvoir fusent de partout. La foule rejette le scrutin que s’apprête à organiser une administration fortement décriée par les manifestants.

14h41. Oran : il y a une forte mobilisation. « Had el aam makanch el vote (cette année, il n’y aura pas de vote) », scandent les manifestants qui marchent au boulevard Emir Abdelkader en direction de la rue Larbi Ben M’hidi.

14h40. Alger : les manifestants de Bab El Oued et la Casbah arrivent au centre-ville.

14h35. Jijel : une imposante manifestation se déroule en ce moment contre les élections et pour un véritable changement.

14h22. Alger : un manifestant offre des galettes aux marcheurs.


14h21. Tizi Ouzou : les manifestants réclament la liberté : « Talbine el houria ».


14h20. Constantine : les manifestants scandent : « Talbine el houria ».


14h14. Oran : « Makanch el qanoun, makanch aadala oéé oéé makanch el vote (Puisqu’il n’y a ni loi ni justice, alors il n’y aura pas de vote) », scandent les manifestants. L’ambiance est très festive.

14h10. Oran : début de la manifestation à la place du premier novembre (ex-place d’armes). Des centaines de jeunes sont rassemblés et scandent des slogans anti-pouvoir qui s’apprête à organiser des élections le 12 décembre prochain.

14h06. Tizi Ouzou : pour la 1ère fois depuis le 22 février, un hélicoptère survole la ville pendant la manifestation.


14h00. Alger : Abdelaziz Rahabi parle de la présidentielle.


13h57. Bejaia : imposante marche pour dire non aux élections et réclamer un véritable changement.


13h56. Alger : les portraits des détenus du hirak brandis par les manifestants.


13h55. Alger : la rue Didouche est déjà noire de monde. Les manifestants sont plus nombreux que vendredi dernier à la même heure.


13h55. Tizi Ouzou : immense drapeau national déployé.


13h45. Des manifestants rassemblés à Tizi Ouzou en prévision de la marche du 40e vendredi des manifestations pour le départ du système et pour le rejet des élections du 12 décembre.


11h55. Alger : les enfants toujours présents aux marches.


11h45. Alger : les manifestants dénoncent les arrestations : « Hamla i’atiqalia machi intikhabia ».


11h32. Alger : les manifestants continuent d’affluer au centre-ville.


11h30. Alger : une colombe blanche sur la tête d’un manifestant.


11h20. Alger : les manifestants réclament le départ de Bensalah et Bedoui.


11h18. Alger : les premiers manifestants défilent dans le centre-ville.


Les Algériens s’apprêtent à descendre dans la rue pour manifester pacifiquement pour le 40e vendredi depuis le 22 février. Si la tendance à un retour en force du hirak, observée depuis la fin octobre, se confirme aujourd’hui, on devrait assister à une forte mobilisation à travers de nombreuses wilayas du pays.

Depuis le début de la semaine, on assiste à des manifestations nocturnes dans plusieurs villes, dont Alger. Hier, pour la deuxième nuit consécutive, une manifestation nocturne anti-présidentielle a eu lieu à Alger, malgré les nombreuses arrestations et le placement en détention de huit manifestants qui avaient pris part à la marche nocturne de mercredi. Hier, plusieurs dizaines de manifestants ont été arrêtés dans la capitale.

Des manifestations nocturnes ont également eu lieu dans d’autres villes du pays pour dénoncer les l’élection.

Cette nouvelle journée de mobilisation intervient alors qu’aucun signe d’apaisement n’émane du pouvoir malgré le démarrage de la campagne électorale. Hier, Amnesty International a dénoncé les arrestations affirmant être « profondément préoccupée par le climat de répression et de restrictions aux libertés ». « Ces arrestations arbitraires limitent fortement les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion, garantis par la Constitution », estime en outre l’ONG.

Pour sa part, Reporters sans frontières (RSF) a appelé jeudi les autorités algériennes de « à respecter le pluralisme médiatique et le débat d’idées pendant la campagne présidentielle ». « A l’approche du scrutin présidentiel du 12 décembre prochain, RSF appelle les autorités algériennes à respecter le pluralisme médiatique et le débat d’idées pendant la campagne présidentielle, Nous exhortons le gouvernement algérien à ne pas entraver le travail de la presse et appelons les autorités à respecter leurs propres engagements, pris au niveau national et international », a déclaré l’ONG de défense des journalistes.

Dans ce contexte, un débat aura lieu la semaine prochaine au Parlement européen, suivi du vote d’une « résolution d’urgence » sur l’Algérie, a annoncé, jeudi soir, l’euro-député français Raphael Glucksmann.

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