La crise financière de l’État a relancé une politique de substitution aux importations à l’ancienne. Elle n’est ni bonne ni mauvaise. Elle s’évalue au cas par cas et dans la durée.
La crise financière de l’État a relancé une politique de substitution aux importations à l’ancienne. Elle n’est ni bonne ni mauvaise. Elle s’évalue au cas par cas et dans la durée.