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Un huitième vendredi pour imposer la volonté du peuple

Un huitième vendredi pour imposer la volonté du peuple

23h00. Fin de ce direct.

>> Lire sur TSA : Ce qu’il faut retenir des manifestations du 8e vendredi
>> Lire sur TSA : Elle réprime une foule compacte : l’irresponsabilité de la police
>> Lire sur TSA : Saïd Sadi : « Ce 12 avril signe l’acte de décès de l’armée politique en Algérie »
>> Lire sur TSA : VIDÉO. Répression des manifestations à Alger : des enfants parmi les blessés

22h10. Un député du RCD demande à juger celui qui a donné l’ordre de réprimer les manifestants.

22h04. Mohcine Belabbas dénonce la répression, estime que celui qui a donné l’ordre doit répondre devant la justice.

21h55. VIDÉO. Quand une foule immense chante Kassaman ensemble. C’était ce vendredi à Bordj Bou Arreridj.

>> Lire sur TSA : Gaz lacrymogène dans le tunnel à Alger : la DGSN dément, les images montrent le contraire

21h24. Said Salhi, vice-président de la LADDH, dénonce la répression contre les manifestants pacifiques à Alger.

21h25. La DGSN « dément » l’utilisation des gaz lacrymogènes à l’intérieur du tunnel des facultés à Alger (communiqué)

21h18. Nouveau bilan de la DGSN : 83 policiers blessés, 180 personnes interpellées. Dans son précédent communiqué, la DGSN a mis en cause des « délinquants infiltrés » parmi les manifestants.

 

>> Lire sur TSA : La police a utilisé des balles en caoutchouc contre les manifestants à Alger
21h13 . Malgré la répression qui a caractérisé la marche de ce vendredi à Alger, les scènes de fraternisation entre la police et les manifestants n’ont pas manqué

21h09. Via le live-tweet de Dilem

21h08. RAJ dénonce la répression et l’utilisation par la police de balles en caoutchouc contre les manifestants à Alger.

21h00. L’association RAJ dénonce la répression des manifestants.

>> Lire sur TSA : Le pouvoir teste la manière forte : un choix à haut risque

20h38. Echorouk news dénonce l’agression d’une équipe de ses journalistes à la Grande Poste par la police.

20h37. Débrayage des travailleurs de Sonatrach à Hassi Messaoud

20h00. Le JT de 20 Heures de l’ENTV ouvre avec les grandes manifestations du 8e vendredi de contestation.

19h56. Alger : des bénévoles nettoient les rues du centre-ville après les manifestations

19H45. Violences à Alger : la DGSN met en cause des « délinquants infiltrés » parmi les manifestants (Lire)

19h42. Imposantes marches à travers le pays pour réclamer le départ des symboles du système.

19h37. 27 policiers blessés, dont quatre dans un état grave, selon un bilan de la DGSN qui annonce l’arrestation de 108 personnes (communiqué)

19h35. VIDÉO. La police tire des gaz lacrymogènes sans raison sur des manifestants qui rentraient chez eux à Alger

19h28. Alger : après la manifestation, le nettoyage (photo Khaled Derarni)

19h23. L’hélicoptère de la police continue de survoler Alger.

19h23. Tlemcen : imposante manifestation contre le système

19h21. Affrontements à Alger : les policiers GOSP ont été appelés en renfort.

19h15.

19H15. Le Club des magistrats algériens a démenti, ce vendredi soir, l’information faisant état de l’annonce par un « Club des magistrats libres » du boycott, par les magistrats, des élections du 4 juillet. « Nous démentons formellement cette information à laquelle le Club des magistrats algériens n’est pas à l’origine », a déclaré à TSA M. Merzoug Saâd Eddine, juge d’instruction près la Cour de justice d’Oued Souf et membre actif du Club des magistrats.

« Ce club des magistrats libres n’existe pas, il est fictif et il n’a rien à voir avec nous », a ajouté le magistrat, expliquant qu’il n’existe « que le syndicat national des magistrats algériens et le Club des magistrats algériens ».

La position des magistrats adhérant au Club des magistrats « sera connue demain, lors du sit-in prévu devant le ministère de la Justice, ou au courant de la semaine », a indiqué M. Merzougui.

19h10. Le MSP dénonce « les provocations (policières) contre les manifestants lors des marches durant la semaine et ce vendredi à Alger et les tentatives de faire sortir le Hirak de son caractère pacifique » (communiqué).

La position des magistrats adhérant au Club des magistrats « sera connue demain, lors du sit-in prévu devant le ministère de la Justice, ou au courant de la semaine », a indiqué M. Merzougui

19h08. Via le live-tweet de Dilem

18h59. Via le live tweet de Dilem

>> Lire sur TSA : Accusée d’avoir réprimé les manifestations, la DGSN se défend et annonce avoir arrêté des « étrangers »

18h35. Alger : les bénévoles commencent à nettoyer la ville des détritus laissés par les manifestants.

18h33. Alger : un manifestant insiste sur le caractère pacifique des manifestations

18h20.

>> Lire sur TSA : Les Algériens ont encore marché par millions : « Rien ne nous arrêtera »

>> Lire sur TSA : La police a tiré des bombes lacrymogènes à l’intérieur du tunnel des facultés à Alger

18h08. Les policiers antiémeute ont violemment chargé les manifestants à Alger-centre, prenant le risque de provoquer des bousculades et mettant en danger la vie des enfants, des personnes âgées qui participent aux manifestations. Place Audin à l’instant, évacuée par la police à coup de bombes lacrymogènes, les manifestants restent pacifiques.

[TSA]


18h08. La police utilise la force pour disperser les manifestants à Place Audin (Alger).

[TSA]


18h07. La police a blessé plusieurs manifestants dans le centre d’Alger.

18h04. Les policiers antiémeute tire des bombes lacrymogènes sur des manifestants à Place Audin, pour les disperser. Ils empêchent les journalistes de filmer.

18h00. Via le live tweet de Dilem

18h00. La LADDH dénonce le répression des manifestants à Alger et l’usage des bombes lacrymogènes vis-à-vis des manifestations pacifiques, notamment dans le tunnel des facultés.

17h56. Alger : comment la police a réprimé les manifestants

17h55. Alger : la situation de nouveau tendue à Place Audin.

17h53. Oran : les manifestants réclament le départ de Bensalah.

17h52. Ain Defla : imposante manifestation contre le système

17h46. Tizi Ouzou : les manifestants se dispersent dans le calme .

17h49. Alger : sur les banderoles, les Algériens expriment leur détermination à poursuivre la lutte pacifique.

17h44. Alger : calme relatif sur le boulevard Mohamed V, la plupart des manifestants sont redescendus vers Place Audin et rue Didouche où la manifestation se poursuit dans le calme et dans une ambiance bon enfant.

17h44. Alger, un manifestant avec son caniche

[TSA]


17h43. À Ghardaia, les habitants ont manifesté pour réclamer le départ du système.

17h41. Alger : « Nous resterons pacifiques… »

17h39. Alger : depuis le début des manifs, des jeunes distribuent des sucreries aux manifestants.

17h37. Regardez comment la gendarmerie a bloqué ce matin les accès routiers à Alger.

17h53. Via le live tweet de Dilem :

17h19. La police se défend d’avoir tenté de réprimer les manifestants, annonce l’arrestation, en collaboration avec l’armée, d’un groupe criminel qui s’apprêtait à attaquer les manifestants.

17h07. Alger : affrontements entre de petits groupes de jeunes casseurs et des policiers antiémeute en haut du boulevard Mohamed V, et dans les petites ruelles avoisinantes. La police utilise les gaz lacrymogènes pour disperser les casseurs, les jeunes du quartier tentent de s’interposer entre les casseurs et les policiers.

17h05. À Constantine, des milliers de personnes sont sorties dans la rue, pour le 8e vendredi consécutif, pour réclamer le départ du système. Des femmes, des enfants, des jeunes et des personnes âgées participent à la marche.

[TSA]


17h02. Ouargla : impressionnante marche contre le système

16h59. Au Boulevard Krim Belkacem, Telemly (Alger), la tension est vive.

16h57. Plusieurs blessés ont été enregistrés dans ces affrontements à Alger-centre. Des personnes portant des gilets rouges demandent aux autres manifestants d’éviter les affrontements avec les forces antiémeute, qui ont quitté le début du Boulevard Mohamed V, pour se positionner plus haut.

16h56. Les dégâts occasionnés par les affrontements entre les policiers et les casseurs à Alger centre (Boulevard Mohamed V)

16h54. À Annaba, sous la pluie battante, les manifestants disent non à Bensalah

16h53. Comme partout dans le pays, les habitants de Jijel sont sortis nombreux dans la rue pour réclamer le départ du système et de ses symboles

16h52. Skikda : impressionnante manifestation contre le système

16h50. Regardez comment les manifestants ont évité de s’accrocher avec la police à Alger cet après-midi.

16h39. Les manifestants commencent à se disperser dans le calme à Bouira.

>> Lire sur TSA : Les avocats rejettent l’élection présidentielle, dénoncent la répression des manifestations

>> Lire sur TSA : Bensalah disqualifié, la prochaine présidentielle rejetée

16h32.

16h29. Tamanrasset : des citoyens dans la rue pour réclamer le changement, et rejeter la présidentielle

16h27. Boumerdes : marée humaine devant la Cour de justice

[TSA]


16h23. Impressionnante foule de manifestants à Bordj Bou Arreridj.

16h19. Plusieurs manifestants blessés à Place Audin. Certains ont été évacués, d’autres sont soignés par des secouristes et les pompiers. Ces blessures ont été provoquées par les grenades lacrymogènes tirées par la police, et au cours des bousculades qui ont suivi.

16h18. Aïn Témouchent : une grande marche est organisée aujourd’hui par des manifestants hostiles à toute organisation d’un processus électoral par le pouvoir incarné par Bensalah, Bedoui et Belaïz.

16h17. Relizane : des milliers de manifestants ont battu le pavé aujourd’hui. La foule a notamment fustigé le choix du pouvoir de confier l’organisation des élections à Bensalah et au gouvernement Bedoui.

16h15. Marée humaine partout en Algérie contre le système et ses symboles dont les 3B (Bensalah, Bedoui et Belaiz). A Alger, Oran, Mostaganem, Ain Temouchent, Sidi Bel Abbès, Saida, Mila, Constantine, Bouira, Tizi Ouzou, Boumerdes, Bechar, Mascara, Chlef, Khenchela, Annaba, Souk Ahras, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Relizane, AIn Defla, Jijel, Skikda….Les Algériens disent non à Bensalah et réclament le départ des symboles du système Bouteflika.

16h15. Au Boulevard Mohamed V, les escarmouches se poursuivent entre des casseurs et les policiers antiémeute.

16h11. Alger-centre, la Place Audin noire de monde

16h08. Alger: une pancarte à l’adresse de Gaid Salah « Vous êtes avec le peuple, ou la bande ».

[TSA]


16h00. Les avocats jugent que les élections présidentielles ne vont pas permettre une transition démocratique, sous la conduite du gouvernement illégitime.

15h59. L’Union nationale des ordres des avocats d’Algérie dénonce la répression contre les manifestants pacifiques.

15h58. Said Sadi participe à la manifestation contre le système.

15h50. Impressionnante foule à Bordj Bou Arreridj

[Info Trafic Algérie]


[El Bilad]


15h50. APS : « Les marches populaires se sont poursuivies à Alger et dans les autres wilayas du pays, pour le huitième vendredi consécutif, avec les mêmes slogans et mots d’ordre revendiquant un « changement radical » et le départ de « tous les symboles du système » »

15h47. Sidi Bel Abbès : regardez comment les manifestants, très nombreux, ont dégagé la voie à une ambulance de la Protection civile.

15h46. Alger-centre, poursuite des affrontements entre les policiers et des casseurs.

15h45. Tizi Ouzou: impossible d’avancer d’un pas au centre ville. La foule compacte dépasse celle des vendredis passés.

15h42. Affrontements entre policiers antiémeute et des casseurs à Alger-centre. Les affrontements se déroulent au début du Boulevard Mohamed V.

15h41. À Relizane, sur une pancarte brandie par les manifestants, le message est clair « dégagez tous ».

15h39. Constantine : imposante marche contre le système et pour réclamer le changement

15h37. À Médéa, malgré la pluie, les citoyens sont sortis dans la rue, pour dire non à Bensalah.

15h37. Alger-centre : la place Audin vide de manifestants, à cause des affrontements entre des voyous et les forces antiémeute.

15h36. Béchar : les manifestants scandent, « Bensalah dégage »

15h34. Bouira : malgré la pluie, la manifestation se poursuit.

15h32. Alger, la situation devient très tendue au début du Boulevard Mohamed V. Les policiers utilisent le canon à eau contre les manifestants, ces derniers répondent avec des jets de pierre. Les policiers refusent de laisser les manifestants remonter le boulevard, la place Audin étant saturée.

15h05. Via le live tweet de Dilem

15h03. À El Oued, les habitants manifestent contre Bensalah

15h00. Marée humaine à Bejaia pour réclamer le départ de Bensalah et les résidus du clan présidentiel.

[Béjaia sois l’observateur ]


14h59. Alger : malgré la volonté affichée par la police de réprimer la manifestation, les Algériens sont sortis en famille, avec leurs enfants.Ils n’ont pas cédé à la peur, ils n’ont pas répondu aux provocations des forces de sécurité (police et gendarmerie), qui ont tout fait pour les empêcher et les dissuader de manifester pacifiquement.

14h58. Saida: marée humaine contre Bensalah


14h57. Mila : le message des manifestants à l’armée


14h55. Sur l’ENTV : « On ne peut pas organiser l’élection présidentielle dans ces conditions »

14h55. Vendredi 8 : les premières manifestations massives contre Bensalah, président par intérim, se déroulent actuellement à Alger, Oran, Mostaganem, Bejaia, Tizi Ouzou, Bouira, Sétif, Constantine, Annaba, Souk Ahras, El Oued, M’sila, Saida, Mila…

14h53. Bouira : les manifestants ont déployé des pancartes appelant au départ de Gaid Salah.

[TSA-Bouira]


14h50. ENTV : « Les Algériens réaffirment leur détermination à obtenir le changement ». La télévision publique couvre en direct les manifestations.

14h51. Alger : après avoir attaqué les manifestants au canon à eau, les policiers se retirent sous les applaudissements des manifestants


14h50. Mascara: des milliers de manifestants marchent en ce moment dans le centre-ville. « Bensalah dégage », scande la foule.

14h40. Après avoir réussi à chasser Bouteflika, les Algériens réclament désormais le départ de Bensalah.

14h39. Souk Ahras : imposante manifestation pour réclamer le départ de Bensalah.

14h37. Oran : des milliers de manifestants affluent en ce moment sur la Rue Larbi Ben M’hidi pour prendre part à la marche prévue ce huitième vendredi consécutif pour dénoncer le pouvoir.

14h36. Constantine : les femmes présentes en force à la manifestation

[TSA – Constantine]


14h31. Retour au calme à Place Audin et à rue Didouche, dans le centre-ville d’Alger. Des renforts de policiers antiémeute ont quitté les lieux.

14h26. Toutes les rues et les boulevards du centre-ville d’Alger sont saturées de manifestants.

14h25. Oran: début de manifestation. des milliers de manifestants affluent sur la place du 1er novembre (ex-place d’armes). « Non à la transition menée par Bensalah, Bedoui et Belaïz », scande la foule. Une minute de silence est aussi observée à la mémoire des soldats de l’ANP, victime du crash de l’avion militaire survenu il y a une année à Boufarik.

14h24. Alger-centre noire de monde, les Algériens dans la rue, pour réclamer la démission de Bensalah

[Info Trafic Algérie]


14h23.À Rouissa, la police empêche les manifestants de rejoindre Alger-centre (ITA)

14h21. Sétif : des milliers de manifestants dans la rue pour réclamer le départ de Bensalah

14h17. Constantine sur une pancarte, le message est clair « Ni Bedoui, ni Bensalah, ni Gaid Salah, ni Bouchareb »

[TSA-Constantine]

[TSA-Constantine]

14h15. Constantine : malgré le froid et la pluie, les citoyens sont sortis en masse pour dire non à Bensalah. « Hadi issaba, machi houkouma »

 

[TSA]

14h14. Alger : Me Bouchachi participe à la manifestation et refuse toute négociation avec le pouvoir

14h09. Alger, place Audin, la police a « arrosé » les manifestants

14h07. Après la fin de la prière hebdomadaire, une marée humaine déferle sur Alger-centre

14h08. À l’intérieur du tunnel des Facultés à Alger, les manifestent scandent des slogans hostiles au pouvoir

14h00. Tizi Ouzou : la foule nombreuse scande ; « Bensalah dégage »

13h59. Les manifestants simulent l’exécution publique d’un symbole du système

13h58. Constantine : les manifestants scandent « Bensalah dégage ».


13h54. Alger-centre, place Audin: la police a utilisé le canon à eau contre les manifestants, sans aucune raison apparente, pour la première fois depuis le début des manifestations le 22 février dernier. D’habitude, les policiers antiémeute interviennent pour empêcher les manifestants de monter vers El Mouradia.

13h53. La ville d’Alger manque de poubelles, les manifestants y remédient en fixant des sacs poubelles sur les poteaux. Phénomène vu partout à Alger centre

13h50. Début de la manifestation à Bejaia (Bejaia sois l’observateur)

13h48. Annaba. La manifestation populaire de rejet du système politique et des 3 B débute, malgré le froid et la pluie.

13h41. Les forces de l’ordre utilisent le canon à eau pour disperser les manifestants, qui crient « Silmya, silmya ».

13h39. Via le live tweet de Dilem


13h38. Début de marché à Bouira. Des milliers de personnes au rendez-vous.

12h45. L’ENTV diffuse des images des manifestations d’Alger en direct. La télévision publique annonce une couverture en direct des manifestations de ce vendredi.

12h40. Alger-centre : des jeunes sont venus à pied de Bouira et Tizi Ouzou, pour manifester dans la capitale.

12h29. Alger : les manifestants demandent aux policiers de ne pas les réprimer.

12h21. Tizi Ouzou : les manifestants commencent à se rassembler devant l’université pour la marche du 8e vendredi pour le départ du système.

12h18. VIDÉO TSA. A Alger-centre, les cafés sont ouverts, la manifestation est pacifique.


12h17. VIDÉO TSA. Alger-centre : « FLN dégage »


12h15. Alger : des manifestants demandent à Gaid Salah de chasser la « issaba » (la bande mafieuse au pouvoir) : « Nous sommes sous ta protection ».


12h13. Les Algériens demeurent mobilisés pour obtenir le départ du système. A 12h00, Alger est déjà noire de monde. Ils scandent « Bensalah dégage ».


12h10. VIDÉO. A Bejaia les manifestants commencent à se rassembler en vue de la grande marche (Bejaia sois l’observateur)


12h11. Alger-centre est déjà pleine de manifestants qui réclament le départ des 3B.



11h58. Abdelouahab Fersaoui : « Il y a une volonté de réprimer et d’interpeller les gens. Mais la forte mobilisation des Algériens empêche la police d’agir. Le pouvoir n’a aucune volonté de répondre aux aspirations du peuple. Il continue dans sa logique de casser le mouvement ».

11h57. Abdelouahab Fersaoui, président de Raj : « Malgré la volonté du pouvoir de bloquer les manifestants qui viennent des autres wilayas, le peuple est au RDV. Il est déterminé à aller jusqu’au bout. Rien ne peut l’arrêter, malgré les tentatives de répression. »

11h53. Alger : la place Audin déjà « noire de monde ».


11h51. Devant la Présidence, le dispositif de sécurité est renforcé, mais l’ambiance est détendue.

11h50. Alger : un manifestant ému aux larmes après le retrait des policiers antiémeute de la place de la Grande Poste.


11h49. VIDÉO TSA. Alger : les manifestants partagent un couscous offert par les riverains.


11h42. Alger : comme chaque vendredi, des volontaires distribuent des sucreries aux manifestants.


11h38. La mobilisation est plus importante que vendredi dernier à la même heure.

11h37. Alger-centre : de plus en plus de manifestants arrivent dans le centre-ville. Beaucoup de familles, des enfants, des femmes participent à la manifestation. L’ambiance est plus détendue, après un début de matinée un peu tendu. Tout se passe dans le calme.

11h35. Alger : les manifestants maintiennent la pression sur le pouvoir


11h30. Place Audin en ce moment

[ Photo : TSA ]


11h30. A Bouira, les manifestants se rassemblent à la place publique et l’esplanade de la maison de culture Ali Zamoum.

Le point à 11h25 à Alger. De plus en plus de manifestants investissent la rue Didouche, les places Audin et de la Grande poste. Des manifestants commencent à se rassembler Place du 1er Mai et Rue Hassiba. Tendue ce matin à cause des craintes de répression, l’atmosphère est désormais détendue. On voit de nouveau des échanges et des discussions entre policiers et manifestants. Selon nos journalistes sur place, la manifestation de ce vendredi à Alger s’annonce parmi les plus importantes depuis le début du mouvement populaire.

11h19. Place Audin – Les manifestants observent une minute de silence en hommage aux 257 victimes du crash de l’avion militaire le 11 avril 2018 à Blida.

11h15. La LADDH dénonce les barrages filtrants de la gendarmerie et l’usage des canons à son. « Les dispositifs sécuritaires déployés sont disproportionnés par rapport au caractère pacifique des manifestations et le devoir aujourd’hui est de protéger et d’assurer la sécurité des manifestations pacifiques », écrit-elle dans communiqué. « La ligue met en garde contre toute tentation de répression de ces manifestations pacifiques », ajoute-t-il. « Comme la ligue met en garde contre l’utilisation de dispositif sécuritaire tel que le canon à son, système pouvant causer des graves problèmes auditifs à l’égard des manifestants », poursuit le communiqué. 

11h09. Les manifestants continuent d’affluer vers Alger-centre.


11h03. PHOTO. La manifestation de l’ampleur à Alger-centre.

[ Photo : TSA ]


11h02. VIDÉO TSA. « Oh Bensalah le Marocain, l’Algérie a ses enfants », scandent les manifestants


11h00. VIDÉO TSA. La mobilisation est déjà très forte à Alger centre. « Le peuple est éduqué et l’Etat a trahi »


10h55. VIDÉO TSA – Un manifestant à Alger :  » Nous ne leur pardonnons pas  »

10h50. VIDÉO TSA – paroles de manifestants


10h51. De nombreux citoyens déplorent le comportement de la Gendarmerie qui a bloqué sans raison les accès par route à Alger, entravant ainsi la liberté de circuler des Algériens. La gendarmerie a dressé des barrages partout pour empêcher carrément les véhicules d’avancer, mettant en danger la vie des citoyens plus vulnérables, comme les enfants, les malades et les personnes âgées.

Hier, soir, les gendarmes ont bloqué dressé un barrage à la sortie du tunnel de Bouzagza, bloquant des automobilistes à l’intérieur du tunnel, et laissant exposer à tous les dangers. A l’intérieur, les gaz carboniques rejetés par les véhicules rendent l’atmosphère irrespirable.

10h40. Les manifestants prennent le contrôle de la Grande Poste, après le retrait des policiers.

[ Photo : TSA ]


10h40. Les enfants présents à la manifestation d’Alger

[ Photo : TSA ]


10h35. VIDÉO. Les policiers se retirent de la Grande Poste sous la pression des manifestants pacifiques.


10h35. Alger : la réponse d’un manifestant à Ouyahia


10h32. Alger-centre : des centaines de manifestants rassemblés devant la Grande Poste.

[ Photo : El Bilad ]


10h28. Alger-centre : le message d’un manifestant aux policiers antiémeute.


10h25. Les policiers se sont retirés de la Grande Poste sous la pression des manifestants qui restent pacifiques.

10h26. Via le live tweet de Dilem


10h20. La police commence à évacuer la Place de la Grande Poste sous la pression des manifestants.

10h15. Hormis Bouteflika et (peut-être) son frère Said, aucun des symboles du régime n’a quitté ses fonctions. En plus des 4B dénoncés par la population, Ouyahia, Sidi Said et d’autres responsables sont toujours en poste. Ould Abbes a même annoncé son retour à la tête du FLN.

10h10. A Annaba, le rassemblement a commencé face au théâtre de la ville.

[ Photo : Pr Nadji Khaoua ]


Un manifestant s’dressant à un policier : « Vous êtes nos frères »


09h57. La gendarmerie bloque la circulation vers Alger au niveau de Lakhdaria pour empêcher les manifestants de rejoindre la capitale.


La Grande Poste vers 09h40


Le point à 9h45 à Alger. Selon nos journalistes, de nombreux manifestants sont déjà sortis à Alger-centre, rue Didouche et Place de la Grande Poste. Des familles sont sorties manifester.


Sur la rue Didouche, la présence policière est très discrète mais d’importantes forces de police sont déployées près de la Grande Poste. Les manifestations se déroulent dans le calme.

« Bensalah dégage », « Nous sommes là pour dégager la bande », « Oulach smah oulach » sont parmi les principaux slogans scandés par les manifestants.

09h32. Alger : la manifestation contre le système prend de l’ampleur.


09h10. Photo. Forte présence policière à Alger-centre. Le pouvoir tente par tous les moyens d’empêcher les manifestations.

[ Photo : El Bilad ]


08h30. Sur les réseaux sociaux, le comportement de la Gendarmerie nationale hier sur l’autoroute Est-Ouest est dénoncé. Des milliers d’automobilistes ont été bloqués par des barrages filtrants. Parmi eux, certains ont été bloqués à l’intérieur des tunnels de Bouzegza au milieu de gaz toxiques.

08h25. Le dispositif de sécurité à proximité de la présidence de la République est léger. Mais d’importants renforts sont déployés entre l’hôtel Saint-George et le lycée Bouamama (ex-Descartes), a-t-on constaté.

08h05. VIDÉO. A Alger, les premiers manifestants sont déjà arrivés place de la Grande Poste


Des manifestants à Alger-centre hier soir

[ Photo : Kamil Achour ]


[ Photo : Kamil Achour ]


Depuis le début de la semaine, le pouvoir fait tout pour dissuader les Algériens de manifester : répression des manifestations des étudiants et des syndicalistes à Alger, menaces à peine voilées du chef d’état-major de l’armée, rumeurs sur de probables actes de violences, tentatives de diviser le mouvement en accusant, sans les nommer, des personnalités d’être téléguidées depuis l’étranger et, pour finir, des barrages filtrants de la gendarmerie hier jeudi pour empêcher les manifestants venus des autres wilayas de gagner Alger.

Mais il faudra sans doute beaucoup plus pour faire reculer le mouvement populaire. Dès hier soir, des dizaines de manifestants ont défilé à Alger-centre. Un avant-goût de ce que sera la journée d’aujourd’hui : « Un raz-de-marée populaire » est attendu partout en Algérie, prédit Abdelwahab Fersaoui, président de RAJ, une association de jeunes très impliquée dans le mouvement populaire.

Les manifestants le savent : le pouvoir cherche à confisquer leur révolution en s’abritant derrière la Constitution pour imposer une transition gérée par des personnalités et une administration nommée par l’ancien président Bouteflika. Des personnalités qui lui sont restées fidèles, du président par intérim jusqu’aux walis. Or, une telle transition est synonyme d’une nouvelle confiscation du pouvoir pour une nouvelle longue période. Ce dont les Algériens ne veulent pas.

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