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Les Algériens veulent contrôler leur transition démocratique

Les Algériens veulent contrôler leur transition démocratique

22h40. Fin de ce direct.

19H10. Le journaliste d’El Watan, Meziane Abane, arrêté aujourd’hui à 13h30 par des policiers, à Alger, « a été libéré, quelques heures plus tard, sans qu’aucune explication ne soit donnée sur les raisons de cette arrestation » (Communiqué d’El Watan).

18h50. Chahuté vendredi par des manifestations, Mokrane Ait Larbi dénonce (Lire)

18h11. Benflis détaille sa proposition de sortie de crise (Lire)

18h05. Le FCE lance le processus de succession d’Ali Haddad (Lire)

17h52. Smain Kouadria, ex-syndicaliste et membre de la direction du PT, réagit à l’appel lancé par 4 unions de wilayas de l’UGTA

« Les travailleurs et les syndicalistes sont mobilisés pour la réappropriation de l’organisation UGTA par les travailleurs et pour les travailleurs. L’UGTA doit revenir à son rôle qui est la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs. Sidi Saïd a « vendu » aux oligarques et au pouvoir corrompu l’organisation authentique fondée par Aissat Idir »

17h42. UGTA : les Unions de wilayas de Tlemcen, Saida, Tizi Ouzou et Bejaia réclament le départ immédiat de Sidi Said et appellent à un rassemblement national des travailleuses et travailleurs au niveau du siège de la Centrale syndicale à Alger.

17h34. Situation politique : contributions de lecteurs (Lire)

16h52. Démission de Bouteflika : le Parlement se réunit mardi (Lire)

16h27. Le Comité central du Parti des travailleurs (PT), réuni ces 5 et 6 avril, a confirmé « la décision de démission irréversible du groupe parlementaire du parti prise par le bureau politique et refuse ainsi toute participation au coup de force contre la révolution par un Parlement illégitime qui veut spolier le peuple algérien d’exercer sa pleine souveraineté. »

16h23. El Watan dénonce l’arrestation de son journaliste Meziane Abane aujourd’hui à Alger, et exige sa libération immédiate

16h08. VIDÉO. Première apparition publique de Tayeb Louh depuis son départ du gouvernement (Lire)

15h15. Les agriculteurs de Tizi-Ouzou manifestent avec leurs tracteurs

14h05. VIDÉO. Pour démentir les rumeurs sur son arrestation, Tayeb Louh se promène en voiture à Alger. Une promenade filmée.

14h00. Pour participer au débat politique, adressez-nous vos contributions à [email protected]

13h30. VIDÉO. Louisa Hanoune sur Al Jazeera : « Le 4e mandat a été catastrophique ». Elle a appelé au départ de tous les symboles du système.

12h26. Smain Kouadria, membre de la direction du PT, dénonce l’arrestation ce samedi de deux syndicalistes qui manifestaient devant le siège de l’UGTA à Alger, pour réclamer le départ de Sidi Said


12h20. Nabil Yahiaoui démissionne du bureau politique du parti TAJ d’Amar Ghoul

12h13. Abderrazak Makri plaide pour un départ forcé du cadre constitutionnel

11h43. Enquêtes sur les projets : la Gendarmerie a perquisitionné au ministère des Travaux publics et des Transports (Lire)

10h30. Gaid Salah désormais en première ligne face aux manifestants (Lire)

10h15. Via le live tweet de Dilem

09h50. Les révélations d’un ex-wali sur Bedoui

09h33. Le témoignage accablant de l’ex-wali Bachir Frik sur la relation entre Toufik et Bensalah

09h23. Le Brent repasse la barre des 70 dollars, soutenu par l’Opep et les tensions en Libye (Lire)

07h58. « Nous n’avons pas été la Syrie, nous ne serons pas l’Égypte » (Lire)

Des millions d’Algériens ont marché, hier, pour le septième vendredi consécutif pour réclamer une transition démocratique contrôlée par le peuple. Le départ, mardi 2 avril, du président Bouteflika après 20 ans de règne et les assurances données par l’armée quant au respect de la volonté du peuple n’ont pas démobilisé les Algériens.

Les manifestants voient dans le départ de Bouteflika une étape dans leur marche vers l’instauration de la démocratie. Ils exigent maintenant le départ de tous les symboles du système, à commencer par les 3 B (Bensalah, Bedoui et Belaiz). L’armée, qui s’est engagée hier une nouvelle fois à respecter la volonté populaire, devrait accéder à cette nouvelle exigence en poussant les trois responsables à la démission. Ce serait une suite naturelle des événements : les 3B ont servi Bouteflika et son régime, ils ne peuvent pas gérer la transition.

Mais le départ des 3B ne résoudra pas la crise. L’armée va devoir choisir entre deux options : tenter d’imposer une personnalité pour gérer la transition – le nom de Zeroual revient avec insistance ces derniers jours – ou laisser le mouvement populaire choisir librement ses représentants. La première option est risquée : elle met l’armée en première ligne face à la population, avec le risque, très de voir la rue rejeter la personnalité qu’elle aura proposée.

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