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Revivez les principaux événements de ce samedi 30 mars

Revivez les principaux événements de ce samedi 30 mars

22h57. Fin de ce direct.

22h33. L’Armée prend les choses en main, insiste sur le départ de Bouteflika (Lire)

21h25. Ce que disent les articles 7, 8 et 102 de la Constitution (Lire)

21h20. Accusations contre des parties « malintentionnées » : à qui s’adresse Gaid Salah ? (Lire)

21h00. L’actrice Adila Bendimerad nous parle de son engagement dans le mouvement populaire (Lire)

20h44. Mohcine Bellabas : « Gaid Salah commence à s’énerver » (Lire)

20h02. Le JT de l’ENTV ouvre sur la réunion au ministère de la Défense nationale.

19h28. DOCUMENT – Communiqué urgent du ministère de la Défense nationale (Lire)

19h25. URGENT – Gaïd Salah accuse des « parties malintentionnées » de comploter contre l’ANP (Lire)

19h40. ALERTE – Réunion au ministère de la Défense nationale, Gaïd Salah hausse le ton (Lire)

18H30. Edwy Plenel, directeur de Mediapart, conseille aux gilets jaunes de s’inspirer du peuple algérien. « Ce qu’il faut souhaiter, c’est que les Gilets jaunes fassent comme le peuple algérien, avec autant d’humour, le plus massivement possible », a-t-il déclaré aujourd’hui sur l’émission Les Terriens du samedi.

18h30. Appel aux Algériens patriotes (Lire)

16h24. Au FFS, les décisions d’Ali Laskri contestées (Lire)

15h43. RND : les contestataires réclament la démission d’Ouyahia, menacent d’occuper le siège du parti (Lire)

15h40. Réunis à Alger, 150 membres du comité central du FLN appellent à la démission de Bouteflika (Lire)

14h39. Article 102 : pourquoi Bouteflika et ses proches n’ont pas encore cédé (Lire)

13h40. RND : les contestataires menacent d’occuper le siège pour déloger Ouyahia s’il refuse la tenue d’un Conseil national extraordinaire du parti. « Nous avons envoyé une lettre à Ouyahia pour lui demander de convoquer un conseil national extraordinaire dans les meilleurs délais. S’il refuse, nous allons occuper le siège du parti. Nous avons avec nous 100 membres du Conseil national sur 253 », explique à TSA Belkacem Mellah, un opposant à Ahmed Ouyahia. Selon lui, les contestataires lui reprochent aussi d’avoir rédigé le communiqué appelant à la démission de Bouteflika sans consulter le Conseil national.

13h12. Affrontements à l’arme blanche devant le siège de l’UGTA. Des hommes, présentés comme des partisans de Sidi Said, ont utilisé des armes blanches et des chaînes contre les manifestants. La police a procédé à plusieurs arrestations, selon notre journaliste qui était sur place. Le calme est revenu.

13h04. Les avocats demandent aux procureurs d’ouvrir des enquêtes sur la corruption (Lire)

13h00. 

12h38. VIDÉO. Un rassemblent devant le siège de l’UGTA à Alger pour demander le départ de Sidi Said.

12h35. Ahmed Boumehdi, membre du Comité central du FLN à TSA : « Nous sommes actuellement en réunion. Nous sommes 150 membres du Comité central, entre présents et les procurations. Nous allons réaffirmer notre soutien à l’article 102 et demandé la tenue d’un comité central dans les meilleurs délais. Bouchareb doit partir »

12h19. À Tizi Ouzou : des artistes manifestent contre le système à la place de l’olivier

12h08. Des Algériens manifestent ce samedi pour exiger un changement radical, comme ici à Kherrata dans la wilaya de Bejaia (Photos : Bejaia Sois L’Observateur)

11h55. Comment Bouteflika s’est retrouvé à la merci de l’armée (Lire)

10h13. Hommage au policier de la Place Audin (Lire)

09h10. Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie : « Le peuple algérien décide librement de son avenir ». « Je n’en dirai pas plus », a ajouté le ministre français ce samedi matin sur France 24. « Avoir un membre du gouvernement français qui irait dire aux Algériens voilà ce que vous devez faire, ce serait ne pas respecter la souveraineté du peuple algérien », a-t-il expliqué.

08h59. « L’Article 102 est hors service » ! (Lire)

08h00. La rue, nouvelle assemblée hebdomadaire d’un peuple imperturbable et déjà souverain (Lire)

Au lendemain de nouvelles manifestations qui ont réuni des millions d’Algériens dans la rue et à travers tout le pays, les regards se tournent une nouvelle fois vers le pouvoir.

Hier, les Algériens ont clairement dit non à la nouvelle proposition du pouvoir : une transition contrôlée par le régime via l’application de l’article 102 de la constitution. Ils ont également rappelé leur principale revendication : un changement pacifique et radical, sans les éléments du système qui ont contribué à la crise que le vit le pays aujourd’hui, dans presque tous les domaines et tous les secteurs.

En face, le pouvoir a deux options. Soit continuer à faire la sourde oreille et avancer dans l’exécution de son « nouveau plan », avec les risques qu’un tel choix comporte : une radicalisation des revendications, un enlisement de la crise qui va finir par impacter l’activité et ajouter aux tensions politiques une crise économique…Soit le pouvoir initie enfin une véritable transition.

Le pouvoir dispose encore d’une certaine marge de manœuvre pour répondre de manière sérieuse aux revendications de la rue. Il doit l’utiliser rapidement pour éviter de compliquer davantage la situation.

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