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Enfants piqués dans la rue : de nouveaux cas et un détail intriguant

Enfants piqués dans la rue : de nouveaux cas et un détail intriguant

Le phénomène des enfants piqués à l’aiguille par des inconnus prend des proportions inquiétantes en Algérie. De nouveaux cas sont régulièrement annoncés dans différentes villes du pays, plongeant les parents dans le désarroi. Que se passe-t-il ?

Pourquoi tant de cas simultanés ? Quelles sont les motivations des auteurs de ces actes étranges ? Autant de questions auxquelles personne n’a de réponse pour le moment. La justice s’est mise à communiquer sur la question, mais ne donne pas de début de réponse.

Lundi, le parquet de la République près le tribunal de Boufarik (Blida) a fait état de deux fillettes de huit ans piquées par une inconnue à leur sortie de l’école, une dans la même ville et une autre à Birtouta (Alger).

Cinq enfants piqués au bras gauche à Tiaret

Ce mardi 7 mars, le tribunal de Tiaret a annoncé dans un communiqué, repris par El Khabar, que cinq cas similaires ont été enregistrés ces derniers jours par la police judiciaire à travers le territoire de compétence de la juridiction.

Ce qui signifie que ces cas ont eu lieu au niveau du chef-lieu de wilaya et ses environs. La même source précise que les victimes des piqûres sont âgées entre 7 et 10 ans. Elles ont été piquées par la même personne, une femme portant un voile intégral noir. Le tribunal livre aussi ce détail intriguant : dans les cinq cas, les enfants ont été piqués au niveau du bras gauche.

Plusieurs hypothèses sont avancées pour tenter d’expliquer ce nouveau phénomène qui prend de l’ampleur en Algérie, mais c’est celle de la sorcellerie qui revient le plus.

La semaine passée, trois femmes, dont une présentée comme exerçant le « charlatanisme », ont été arrêtées à El Attaf (Ain Defla) après une tentative d’enlèvement d’une écolière. Dans son communiqué, le parquet local n’a toutefois pas fait état de lien avec la vague de piqûres d’enfants.

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